Vous vous rappelez peut-être que le livre de l’Apocalypse commence par une déclaration du Sauveur disant qu’il est « le commencement et la fin » (Traduction de Joseph Smith, Apocalypse 1:8). Pertinemment, il termine avec des paroles semblables : « Je suis […] le commencement et la fin » (Apocalypse 22:13). Mais qu’est-ce que cela signifie ? Le commencement et la fin de quoi ? Le livre de l’Apocalypse témoigne avec puissance que Jésus-Christ est le commencement et la fin de tout, de cette pièce de théâtre grandiose et magistrale que sont l’existence et le salut de l’humanité. Il est « l’agneau qui a été immolé dès la fondation du monde » (Apocalypse 13:8 [N.D.T. : Traduction littérale de la Bible du roi Jacques]). Et il est le Roi des rois, qui met fin à la méchanceté, à la souffrance et même à la mort, et qui inaugure « un nouveau ciel et une nouvelle terre » (Apocalypse 21:1).
Toutefois, avant que ce nouveau
ciel et cette nouvelle terre n’arrivent, nous avons beaucoup à vaincre :
les maladies, les guerres, la méchanceté grandissante, tout ce qu’Apocalypse dépeint
de manière saisissante. Mais Jésus-Christ est avec nous pendant cet acte-là
aussi. Il est « l’étoile brillante du matin » qui brille dans les
ténèbres, telle la promesse d’une aube qui poindra bientôt (Apocalypse 22:16).
Et celle-ci est proche. Il vient. Et, de même qu’il nous
invite à venir à lui (voir (Matthieu
11:28), il vient également à nous. « Je viens bientôt », dit-il.
Et avec l’espérance et la foi purifiées par les feux de l’adversité des
derniers jours, nous répondons : « Amen ! Viens, Seigneur
Jésus ! » (Apocalypse 22:20).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire